LA PRATIQUE DE L’EXCISION EN BAISSE



La pratique de l’excision diffère selon les villages ou les ethnies. L’âge des jeunes filles varie tout autant. Certaines femmes sont exci-sées avant leur puberté. D’autres le sont après l’âge de la puberté.
Cette pratique traditionnelle néfaste entraine des consé-quences fâcheuses chez les femmes victimes. Parmi celles-ci, nous avons les accouchements difficiles, la stérilité, le Vih/Sida, l’absen-ce de plaisir pendant les rapports sexuels, l’infidélité due à la recherche de plaisir .
A cet effet, l’action de l’Etat ne reste pas en marge, d’où l’existence de lois interdisant la pratique de l’excision en Côte d’Ivoire.
La situation actuelle de la pratique de l’excision dans la région du Gontougo est en baisse.
Malheureusement, elle est toujours présente dans certaines localités du Gon-tougo qui pratiquent encore l’excision de façon cachée. Et le cas le plus préoccupant est Tambi, village de la sous préfecture de Sorobango, à 35 km du département de Bondoukou.
Fatym N. Y. Diabagaté et
Abdoul Razak Kamagaté

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