QUELLES SOLUTIONS POUR FINANCER SES ETUDES EN AFRIQUE ?
L’Union africaine a pris position sur la question, au
terme de la 25ème session de son assemblée générale, tenue en
juin 2015 à Johannesburg, en invitant ses Etats membres à "renforcer leur
soutien et leurs investissements dans l’enseignement supérieur, afin de
développer une masse critique de capital intellectuel de haut niveau".
De son côté, TrustAfrica, co-organisatrice du sommet de Dakar, préconise entre autres la mise en place de politiques fiscales incitatives pour les groupes privés et les structures de bienfaisance qui investissent dans l’enseignement supérieur.
A votre avis, qu’est-ce qui peut être fait au niveau des Etats comme au niveau des familles et des individus pour concrétiser ces bonnes intentions en vue d’aider davantage d’élèves, d’étudiants et de chercheurs africains à trouver les moyens dont ils ont besoin pour poursuivre les études ou mener leurs travaux de recherche ?
De son côté, TrustAfrica, co-organisatrice du sommet de Dakar, préconise entre autres la mise en place de politiques fiscales incitatives pour les groupes privés et les structures de bienfaisance qui investissent dans l’enseignement supérieur.
A votre avis, qu’est-ce qui peut être fait au niveau des Etats comme au niveau des familles et des individus pour concrétiser ces bonnes intentions en vue d’aider davantage d’élèves, d’étudiants et de chercheurs africains à trouver les moyens dont ils ont besoin pour poursuivre les études ou mener leurs travaux de recherche ?
L’un des principaux défis que
doivent relever de nombreux élèves et étudiants africains demeure le financement de leurs études.
Il n’est pas rare en effet de rencontrer dans nos pays de jeunes gens qui ont dû arrêter précocement leurs études, faute d’argent pour aller plus loin.
D’après les constats du premier sommet sur l’enseignement supérieur en Afrique, qui s’est tenu en mars 2015 à Dakar (Sénégal), à peine 7 à 8 % des élèves du continent accèdent à l’enseignement supérieur.
Et même à l’université, il y a beaucoup d’autres étudiants qui doivent attendre parfois plusieurs années pour enfin trouver les financements nécessaires pour mener les recherches relatives à leurs thèses de doctorat.
Il n’est pas rare en effet de rencontrer dans nos pays de jeunes gens qui ont dû arrêter précocement leurs études, faute d’argent pour aller plus loin.
D’après les constats du premier sommet sur l’enseignement supérieur en Afrique, qui s’est tenu en mars 2015 à Dakar (Sénégal), à peine 7 à 8 % des élèves du continent accèdent à l’enseignement supérieur.
Et même à l’université, il y a beaucoup d’autres étudiants qui doivent attendre parfois plusieurs années pour enfin trouver les financements nécessaires pour mener les recherches relatives à leurs thèses de doctorat.
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