COTE D’IVOIRE / LA CONTRIBUTION DES JOURNALISTES ATTENDUE POUR L’ADOPTION DE LA LOI SUR LES DEPLACEMENTS INTERNES
Publié le
jeudi 28 decembre 2017
Abidjan – La
contribution des journalistes, des professionnels des médias et de la société
civile est fortement attendue pour l'adoption de la loi sur le déplacement
interne, a relevé jeudi , Dr Diomandé Sidiki, Enseignant-chercheur à
l’Université Alassane Ouattara de Bouaké, lors du séminaire de renforcement de
capacités à l'intention de ces catégories, initié par le SAARA et le HCR.
Les personnes déplacées internes sont des individus forcés ou contraintes à fuir leur foyer ou lieu de résidence habituel et qui n'ont pas franchi les frontières internationalement reconnues d'un État. Contrairement aux réfugiés, ces personnes ne jouissent pas d'un statut.
Selon Dr Diomandé, il revient notamment aux journalistes, en tant que groupe de pression, d'inciter les États signataires de la convention de Kampala sur la matière, et ne l'ayant pas encore fait, à l'intégrer dans leur ordonnancement juridique interne à travers l'adoption de lois.
La Côte d’Ivoire a ratifié, depuis 2013, la convention de Kampala sur les déplacements internes mais ne dispose pas aujourd'hui de lois internes d'application, relève - t-on.
"On peut impulser les parlementaires pour l'adoption de la loi, si on se rend compte de sa nécessité pour les populations. La presse entend que groupe de pression peut influencer", a ajouté, le représentant du HCR, Sébastien Apatita.
A l'issue des crises de 2002-2011, la Côte d’Ivoire comptait environ 700.000 personnes déplacés internes. Il n'existe plus officiellement des personnes déplacées internes en Côte d ivoire, mais les recents évènements survenus dans le Nord-est et à l'Ouest ont entraîné le déplacement d'un nombre important de populations vivant dans des conditions déplorables, relève - t-on.
https://news.abidjan.net/h/628320.html
Les personnes déplacées internes sont des individus forcés ou contraintes à fuir leur foyer ou lieu de résidence habituel et qui n'ont pas franchi les frontières internationalement reconnues d'un État. Contrairement aux réfugiés, ces personnes ne jouissent pas d'un statut.
Selon Dr Diomandé, il revient notamment aux journalistes, en tant que groupe de pression, d'inciter les États signataires de la convention de Kampala sur la matière, et ne l'ayant pas encore fait, à l'intégrer dans leur ordonnancement juridique interne à travers l'adoption de lois.
La Côte d’Ivoire a ratifié, depuis 2013, la convention de Kampala sur les déplacements internes mais ne dispose pas aujourd'hui de lois internes d'application, relève - t-on.
"On peut impulser les parlementaires pour l'adoption de la loi, si on se rend compte de sa nécessité pour les populations. La presse entend que groupe de pression peut influencer", a ajouté, le représentant du HCR, Sébastien Apatita.
A l'issue des crises de 2002-2011, la Côte d’Ivoire comptait environ 700.000 personnes déplacés internes. Il n'existe plus officiellement des personnes déplacées internes en Côte d ivoire, mais les recents évènements survenus dans le Nord-est et à l'Ouest ont entraîné le déplacement d'un nombre important de populations vivant dans des conditions déplorables, relève - t-on.
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