COMPETITIVITE DE LA FILIERE AFRICAINE DE CAJOU: 74 NOUVEAUX EXPERTS FORMES
Publié le
mercredi 24 octobre 2018 | Fraternité Matin
Le directeur
général du Conseil du Coton et de l’Anacarde reste persuadé qu’une approche
inclusive et holistique de la chaîne de valeur de la filière est une solution
viable.
Le Dr Adama Coulibaly, directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, a officiellement ouvert, lundi, dans un hôtel à Angré, les travaux de la 3e et dernière session du programme de formation de maîtres-formateurs pour promouvoir la chaîne de valeur de cajou africain.
Cette cérémonie qui a eu lieu en présence de Florian Winckler, directeur exécutif de Comcashew, principal bailleur financier avec la coopération allemande Giz, de Jean Rostand Kamga de l’Alliance du Cajou africain, des représentants des ministres du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des Pme, puis de l’Agriculture et du Développement rural, du Psac et de l’université Lorougnon Guédé de Daloa, ouvre une semaine studieuse pour 74 maîtres-formateurs qui vont être façonnés et transformés en experts pour 11 pays par un pool de 25 experts-formateurs triés sur le volet.
Comment pouvait-il en être autrement tant les défis de la transformation qui, en amont, exigent que les questions de productivité, de rendement et de commercialisation soient mieux maîtrisées par des acteurs de la chaîne de valeur qui soient de vrais professionnels. Ce d’autant que le marché est très exigeant.
Le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde reste donc persuadé qu’une approche inclusive et holistique de la chaîne de valeur de la filière est une solution viable. Car, le développement agricole passera nécessairement par la formation des ressources humaines de qualité et non par les machines. Adama Coulibaly a salué le fait que cette session de formation, qui est la 5e édition du Programme des maîtres-formateurs pour promouvoir la chaîne de valeur du cajou africain se tienne à Abidjan alors que du 8 au 10 novembre prochain, sera organisé le Salon international de l’équipement et des technologies de transformation, Sietta 2018 autour du thème ‘’Transformation de l’Anacarde, une mine d’opportunités pour la jeunesse africaine’’.
Pour que la filière anacarde devienne une alternative aux problèmes d’insertion socio-économique qui se posent avec acuité aux jeunes africains et qui sont candidats à la mort dans les eaux européennes parce qu’ils ne cessent de rêver de ce continent comme un eldorado, le directeur exécutif de Comcashew, Florian Winckler, a relevé pour les pays du continent, principal pourvoyeur de noix et d’amandes de cajou, la nécessité de rendre plus compétitives les filières agricoles. Pour espérer créer plus de richesses et ainsi lutter contre la pauvreté.
Le Dr Adama Coulibaly, directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, a officiellement ouvert, lundi, dans un hôtel à Angré, les travaux de la 3e et dernière session du programme de formation de maîtres-formateurs pour promouvoir la chaîne de valeur de cajou africain.
Cette cérémonie qui a eu lieu en présence de Florian Winckler, directeur exécutif de Comcashew, principal bailleur financier avec la coopération allemande Giz, de Jean Rostand Kamga de l’Alliance du Cajou africain, des représentants des ministres du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des Pme, puis de l’Agriculture et du Développement rural, du Psac et de l’université Lorougnon Guédé de Daloa, ouvre une semaine studieuse pour 74 maîtres-formateurs qui vont être façonnés et transformés en experts pour 11 pays par un pool de 25 experts-formateurs triés sur le volet.
Comment pouvait-il en être autrement tant les défis de la transformation qui, en amont, exigent que les questions de productivité, de rendement et de commercialisation soient mieux maîtrisées par des acteurs de la chaîne de valeur qui soient de vrais professionnels. Ce d’autant que le marché est très exigeant.
Le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde reste donc persuadé qu’une approche inclusive et holistique de la chaîne de valeur de la filière est une solution viable. Car, le développement agricole passera nécessairement par la formation des ressources humaines de qualité et non par les machines. Adama Coulibaly a salué le fait que cette session de formation, qui est la 5e édition du Programme des maîtres-formateurs pour promouvoir la chaîne de valeur du cajou africain se tienne à Abidjan alors que du 8 au 10 novembre prochain, sera organisé le Salon international de l’équipement et des technologies de transformation, Sietta 2018 autour du thème ‘’Transformation de l’Anacarde, une mine d’opportunités pour la jeunesse africaine’’.
Pour que la filière anacarde devienne une alternative aux problèmes d’insertion socio-économique qui se posent avec acuité aux jeunes africains et qui sont candidats à la mort dans les eaux européennes parce qu’ils ne cessent de rêver de ce continent comme un eldorado, le directeur exécutif de Comcashew, Florian Winckler, a relevé pour les pays du continent, principal pourvoyeur de noix et d’amandes de cajou, la nécessité de rendre plus compétitives les filières agricoles. Pour espérer créer plus de richesses et ainsi lutter contre la pauvreté.
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