COTE D'IVOIRE: GREVE A REPETITION A BOUAKE, APRES DEUX MOIS APRES LA RENTREE DES ETABLISSEMENTS ONT DEJA PERDU PLUS DE 1000 HEURES DE COURS
koaci.com-
Mardi 28 Novembre 2017 -La ville de Bouaké, comme l'année dernière, risque
d'être la ville en Côte d'Ivoire où l'école est plus perturbée par des
mouvements de grèves.
Après pratiquement deux mois de cours Rechercher cours dans les établissements de Côte d'Ivoire, certains établissements de Bouaké, surtout de la direction régionale1 sont déjà perturbés par des mouvements d'élèves qui dénoncent l'effectif pléthorique par salle de classe, l'insuffisance de bâtiments alors que le nombre d'élèves augmente chaque année ainsi que la transparence dans l'utilisation des cotisations des fonds du COGES.
« J'ai fait le point depuis jeudi dernier à 10 heures jusqu'au vendredi à 18 heures, nous avons perdu environ 300 heures de cours, 300 heures que les enfants du lycée TSF ont perdu en seulement 1 jour et demi. Pour les autres établissements de la zone, ça fait plus de 1000 heures. Nous prenons du retard ici et cela est grave », a relevé le proviseur du lycée moderne TSF de Bouaké Rechercher Bouaké Akpa Séverin, comme rapporté par une source sur place.
Après le discours cadrage de l'initiateur, le directeur de l'éducation nationale de Bouaké, Pongatier Sanogo Abraham, la parole a été libérée. Chefs coutumiers et religieux, élèves et corps enseignants, tous se sont exprimés sur la question de la violence en milieu scolaire surtout au quartier Belleville qui abrite le lycée moderne Belleville, le collège des jeunes filles et le collège privé Mohammed V.
A la fin des échanges, Pongatier Sanogo Abraham a annoncé la création de plusieurs structures.
« Après avoir écouté les parents et reçus le quitus pour faire renaitre notre système éducatif, nous avons décidé de mettre en place un certain nombre de structures. Nous avons décidé de la création du Conseil d'Administration de l'Ecole (CAE) qui n'efface pas le COGES. Le CAE a pour but de déterminer la vision que nous voulons donner à notre école par les parents eux -mêmes, mais surtout sur la gestion du système au quotidien. Il sera dirigé par soit le chef de canton, du village ou soit par le chef de quartier. Il y aura tous les représentants des communautés qui existent dans l'environnement de l'école. Lorsque le COGES et le chef d'établissement réalisent leurs activités, même les activités recommandées par le CAE, ils doivent à la fin du trimestre rendre compte au CAE pour apprécier le travail. Le CAE peut remettre en cause la gestion d'un COGES, la gestion d'un chef d'établissement. Il s'agit pour nous de rendre l'école à la population, mais d'instaurer surtout la bonne gouvernance, la transparence dans toutes les actions que nous mènerons au niveau de l'école. Nous allons faire renaître les clubs messagers, la réactivation des activités de la vie scolaire, la mise en place du conseil régional de sécurité en milieu scolaire présidé par le préfet de région », a révélé Pongatier Sanogo Abraham, dren1 de Bouaké.
Le DREN Rechercher DREN a aussi annoncé que les noms des différents perturbateurs seront remis à la police nationale.
« Nous avons décidé de remettre à la police tous les noms des perturbateurs que nous connaissons pour qu'enfin, on puisse respirer à l'école », a-t-il rassuré.
Après pratiquement deux mois de cours Rechercher cours dans les établissements de Côte d'Ivoire, certains établissements de Bouaké, surtout de la direction régionale1 sont déjà perturbés par des mouvements d'élèves qui dénoncent l'effectif pléthorique par salle de classe, l'insuffisance de bâtiments alors que le nombre d'élèves augmente chaque année ainsi que la transparence dans l'utilisation des cotisations des fonds du COGES.
« J'ai fait le point depuis jeudi dernier à 10 heures jusqu'au vendredi à 18 heures, nous avons perdu environ 300 heures de cours, 300 heures que les enfants du lycée TSF ont perdu en seulement 1 jour et demi. Pour les autres établissements de la zone, ça fait plus de 1000 heures. Nous prenons du retard ici et cela est grave », a relevé le proviseur du lycée moderne TSF de Bouaké Rechercher Bouaké Akpa Séverin, comme rapporté par une source sur place.
Après le discours cadrage de l'initiateur, le directeur de l'éducation nationale de Bouaké, Pongatier Sanogo Abraham, la parole a été libérée. Chefs coutumiers et religieux, élèves et corps enseignants, tous se sont exprimés sur la question de la violence en milieu scolaire surtout au quartier Belleville qui abrite le lycée moderne Belleville, le collège des jeunes filles et le collège privé Mohammed V.
A la fin des échanges, Pongatier Sanogo Abraham a annoncé la création de plusieurs structures.
« Après avoir écouté les parents et reçus le quitus pour faire renaitre notre système éducatif, nous avons décidé de mettre en place un certain nombre de structures. Nous avons décidé de la création du Conseil d'Administration de l'Ecole (CAE) qui n'efface pas le COGES. Le CAE a pour but de déterminer la vision que nous voulons donner à notre école par les parents eux -mêmes, mais surtout sur la gestion du système au quotidien. Il sera dirigé par soit le chef de canton, du village ou soit par le chef de quartier. Il y aura tous les représentants des communautés qui existent dans l'environnement de l'école. Lorsque le COGES et le chef d'établissement réalisent leurs activités, même les activités recommandées par le CAE, ils doivent à la fin du trimestre rendre compte au CAE pour apprécier le travail. Le CAE peut remettre en cause la gestion d'un COGES, la gestion d'un chef d'établissement. Il s'agit pour nous de rendre l'école à la population, mais d'instaurer surtout la bonne gouvernance, la transparence dans toutes les actions que nous mènerons au niveau de l'école. Nous allons faire renaître les clubs messagers, la réactivation des activités de la vie scolaire, la mise en place du conseil régional de sécurité en milieu scolaire présidé par le préfet de région », a révélé Pongatier Sanogo Abraham, dren1 de Bouaké.
Le DREN Rechercher DREN a aussi annoncé que les noms des différents perturbateurs seront remis à la police nationale.
« Nous avons décidé de remettre à la police tous les noms des perturbateurs que nous connaissons pour qu'enfin, on puisse respirer à l'école », a-t-il rassuré.
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