SCIENCE SOCIALE : DES MEMBRES DE L’ASCAD INSTRUITS SUR LA MEDIATION
Publié le samedi 29 septembre 2018 | Abidjan.net
A l`initiative du Domaine des Sciences juridiques
politiques économiques et de gestion, de l`Académie des sciences, des arts, des
cultures d`Afrique et des diasporas africaines (ASCAD), une conférence sur la
médiation sociale s`est tenue ce mercredi au siège de ladite institution.
Venu de France, Jean Louis Lascoux, président de l`école professionnelle de la médiation et de la négociation a présenté la médiation professionnelle aux professeurs curieux de savoir comment intégrer cette nouvelle discipline dans la pratique culturelle dans l’objectif de favoriser une meilleure entente.
« Il s’agit d’intégrer cela dans leurs réflexion et ils sont très motivés pour faire une démarche de recherche dans leurs académie » s’est réjouit M. Lascoux.
Pour lui, l’entente sociale est quelque chose qui fonde la relation, une démarche de réflexion qui n’a pas pour but de faire fi des lois. « C’est un modèle de pesée par rapport à la relation entre individu » a-t-il poursuivi rappelant que « c’est le médiateur qui a pour rôle dans la société de développer et développer l’entente sociale. Dans toutes les sociétés, ce qui fonde une relation, c’est l’entente, une manière de ré-initier une discussion qui s’est arrêtée.»
Le président de l’ASCAD, Pr. Aïdara Daouda a quant à lui souligné « l’intérêt d’une telle rencontre » durant laquelle le conférencier a présenté « une voie qui n’est pas la seule mais qui permet d’obtenir des résultats.»
« La médiation est un concept difficile à cerner et c’est une pratique extrêmement difficile. Mais elle est naturelle à la culture africaine. C’est d’un intérêt important, nous avons réagit, nous allons travailler et cela va enrichir nos champs de vision et nos pratiques » a-t-il promis.
Atapointe
Venu de France, Jean Louis Lascoux, président de l`école professionnelle de la médiation et de la négociation a présenté la médiation professionnelle aux professeurs curieux de savoir comment intégrer cette nouvelle discipline dans la pratique culturelle dans l’objectif de favoriser une meilleure entente.
« Il s’agit d’intégrer cela dans leurs réflexion et ils sont très motivés pour faire une démarche de recherche dans leurs académie » s’est réjouit M. Lascoux.
Pour lui, l’entente sociale est quelque chose qui fonde la relation, une démarche de réflexion qui n’a pas pour but de faire fi des lois. « C’est un modèle de pesée par rapport à la relation entre individu » a-t-il poursuivi rappelant que « c’est le médiateur qui a pour rôle dans la société de développer et développer l’entente sociale. Dans toutes les sociétés, ce qui fonde une relation, c’est l’entente, une manière de ré-initier une discussion qui s’est arrêtée.»
Le président de l’ASCAD, Pr. Aïdara Daouda a quant à lui souligné « l’intérêt d’une telle rencontre » durant laquelle le conférencier a présenté « une voie qui n’est pas la seule mais qui permet d’obtenir des résultats.»
« La médiation est un concept difficile à cerner et c’est une pratique extrêmement difficile. Mais elle est naturelle à la culture africaine. C’est d’un intérêt important, nous avons réagit, nous allons travailler et cela va enrichir nos champs de vision et nos pratiques » a-t-il promis.
Atapointe
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