ONU, CONSEIL DE SECURITE: POURQUOI DES REFORMES PROFONDES S’IMPOSENT
Publié le samedi 29 septembre 2018 | Fraternité Matin
La 73e session de l’Assemblée générale de l’Organisation
des nations unies, qui s’est tenue en plus d’une semaine, à New-York, aura
permis aux pays membres de penser à refaire la toilette de leur institution
commune.
La paix, la sécurité sont menacées dans nombre de pays ; les crises humanitaires et sanitaires abondent ; l’extrême pauvreté gagne davantage du terrain ; les atteintes aux droits de l’homme et à la démocratie sont monnaie courante sur la planète ; les océans transformés en cimetières humains au passage illégal des migrants ; des conflits aux armes de destruction massive…Autant de défis et d’incertitudes auxquels le monde est confronté. Cela donne l’impression que les réunions internationales sous l’égide de l’Organisation faitière mondiale (Onu) se suivent et se ressemblent.
La mise en œuvre des résolutions et conventions issues de ces assises, est mise à rudes épreuves. La 73e session de l’Assemblée générale de l’Organisation des nations unies de septembre 2018, qui a mobilisé des Chefs d’État et Chefs de gouvernement du monde à New-York, au siège de l’institution a fait son mea-culpa.
En effet, malgré tous les moyens colossaux mobilisés, les intervenants à la haute tribune de l’Onu ont relevé la persistance des difficultés auxquelles sont confrontés les États. « Notre session s’ouvre dans un contexte international marqué par de nombreux défis et incertitudes qui érodent progressivement notre capacité à répondre collectivement et de façon plus adéquate aux menaces à la paix et à la sécurité internationales. A cela, s’ajoutent les défis concernant les crises humanitaires et sanitaires, l’extrême pauvreté, les atteintes contre les droits de I ’homme et la démocratie. Notre Organisation commune et le monde actuel semblent perdre leur vocation à protéger les plus vulnérables, à promouvoir une gouvernance mondiale plus juste et plus inclusive, et à fonder entre les nations, une véritable communauté de destin », a déploré, jeudi, le Vice-président Daniel Kablan Duncan, dans sa déclaration solennelle, à la tribune de l’Onu.
La paix, la sécurité sont menacées dans nombre de pays ; les crises humanitaires et sanitaires abondent ; l’extrême pauvreté gagne davantage du terrain ; les atteintes aux droits de l’homme et à la démocratie sont monnaie courante sur la planète ; les océans transformés en cimetières humains au passage illégal des migrants ; des conflits aux armes de destruction massive…Autant de défis et d’incertitudes auxquels le monde est confronté. Cela donne l’impression que les réunions internationales sous l’égide de l’Organisation faitière mondiale (Onu) se suivent et se ressemblent.
La mise en œuvre des résolutions et conventions issues de ces assises, est mise à rudes épreuves. La 73e session de l’Assemblée générale de l’Organisation des nations unies de septembre 2018, qui a mobilisé des Chefs d’État et Chefs de gouvernement du monde à New-York, au siège de l’institution a fait son mea-culpa.
En effet, malgré tous les moyens colossaux mobilisés, les intervenants à la haute tribune de l’Onu ont relevé la persistance des difficultés auxquelles sont confrontés les États. « Notre session s’ouvre dans un contexte international marqué par de nombreux défis et incertitudes qui érodent progressivement notre capacité à répondre collectivement et de façon plus adéquate aux menaces à la paix et à la sécurité internationales. A cela, s’ajoutent les défis concernant les crises humanitaires et sanitaires, l’extrême pauvreté, les atteintes contre les droits de I ’homme et la démocratie. Notre Organisation commune et le monde actuel semblent perdre leur vocation à protéger les plus vulnérables, à promouvoir une gouvernance mondiale plus juste et plus inclusive, et à fonder entre les nations, une véritable communauté de destin », a déploré, jeudi, le Vice-président Daniel Kablan Duncan, dans sa déclaration solennelle, à la tribune de l’Onu.
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