CALEPE: ADMINISTRATION ET PROFESSEURS DANS UNE MEME SALLE DE CLASSE AU COLLEGE D’ABOISSO-COMOE AINE APRES
mardi, 20 mars 2018 01:31
Construit par le conseil régional de La Mé, le collège de
proximité d’Aboisso-Comoé, l’une des cinq sous-préfectures du département
située à 70 km d’Alépé, chef-lieu de département, a ouvert ses portes au
cours de l’année scolaire écoulée.
Pour
cette rentrée scolaire actuellement en cours, il compte un effectif de 312
élèves avec deux salles de classe pour quatre classes pédagogiques. Outre cette
difficulté, l’administration, les éducateurs et les professeurs travaillent
dans des conditions qui laissent à désirer.
En effet, le bâtiment administratif n’étant pas encore disponible (les travaux sont toujours en cours), Zadi Pauline, le principal, les éducateurs et les professeurs sont obligés de « réquisitionner » une salle de classe qui est donc utilisée comme bureau et salle des professeurs. Ce nouvel établissement ne dispose non plus de terrain de sport pour les cours d’Education physique et sportive (Eps).
Pour se soulager, enseignants, personnel administratif et élèves par manque de latrines, se rendent dans les plantations d’hévéa situées dans les environs avec tous les risques possibles. « Nous n’avons vraiment pas le choix », a confié un membre de l’administration qui a requis l’anonymat.
Il faut aussi ajouter le manque d’enseignants de français et de mathématiques.
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En effet, le bâtiment administratif n’étant pas encore disponible (les travaux sont toujours en cours), Zadi Pauline, le principal, les éducateurs et les professeurs sont obligés de « réquisitionner » une salle de classe qui est donc utilisée comme bureau et salle des professeurs. Ce nouvel établissement ne dispose non plus de terrain de sport pour les cours d’Education physique et sportive (Eps).
Pour se soulager, enseignants, personnel administratif et élèves par manque de latrines, se rendent dans les plantations d’hévéa situées dans les environs avec tous les risques possibles. « Nous n’avons vraiment pas le choix », a confié un membre de l’administration qui a requis l’anonymat.
Il faut aussi ajouter le manque d’enseignants de français et de mathématiques.
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