TOUJOATELIER SUR LE MECANISME DE COORDINATION ET DE FINANCEMENT DU SYSTEME INTEGRE DE SUIVI DU TRAVAIL DES ENFANTS
Publié le
lundi 19 mars 2018
Abidjan - Un
atelier réunissant des experts nationaux et internationaux sur un mécanisme de
coordination et de financement durable du système intégré de suivi du travail
des enfants (SSRRTE) en Côte d’Ivoire s’est ouvert lundi, à Abidjan, sous le
patronage de la Première Dame Dominique Ouattara, et présidente du Comité
national de surveillance des actions de lutte contre la Traite, l’exploitation
et le travail des enfants (CNS), a-t-on appris dans une note d’information
transmise à l’AIP.
Ces spécialistes de la question de la lutte contre le travail des enfants devront adopter un mécanisme opérationnel de coordination du Système d’Observation et de Suivi du travail des enfants en Côte d’Ivoire (SOSTECI) et du SSRTE ainsi que les modalités de son financement.
Pour Nadia N’Da Bendé, chef de cabinet de la Première Dame, ces deux entités ne doivent pas être considérées comme différentes, elles doivent être interconnectées pour une meilleure synergie sur le terrain.
«Le SSRTE, mis en œuvre par la Fondation ICI, bien que sectoriel et exclusivement dédié au suivi et à la remédiation du travail des enfants dans la chaîne d’approvisionnement du cacao, ne doit pas être perçu comme un mécanisme parallèle et concurrentiel du SOSTECI. Mais, il doit constituer avec celui-ci, un système interconnecté de partage d’informations, capable d’alimenter la base de données nationales », a-t-elle préconisé.
Le Comité interministériel (CIM) et Fondation International Cocoa Initiative (ICI), sous la supervision du CNS, ont mis en place un cadre de travail conjoint, en vue d’harmoniser les outils de collecte de données et d’opérationnaliser le mécanisme garantissant la circulation fluide et sécurisée de l’information du SSRTE vers le SOSTECI.
Pour le directeur de cabinet-adjoint du ministère de l’Emploi t de la Protection Sociale, Koné Kipeya, cette union s’avère nécessaire pour une meilleure synergie sur le terrain.
Le directeur pays du Bureau de l’Organisation internationale du travail (OIT), Semien Honoré Boua Bi et le directeur Exécutif de la Fondation International Cocoa Initiative (ICI), Nick Weatherill, quant à eux, ont mis l’accent sur la situation des enfants astreints au travail des enfants et la nécessité d’un partenariat public-privé afin de venir à bout à ce phénomène.
Ces spécialistes de la question de la lutte contre le travail des enfants devront adopter un mécanisme opérationnel de coordination du Système d’Observation et de Suivi du travail des enfants en Côte d’Ivoire (SOSTECI) et du SSRTE ainsi que les modalités de son financement.
Pour Nadia N’Da Bendé, chef de cabinet de la Première Dame, ces deux entités ne doivent pas être considérées comme différentes, elles doivent être interconnectées pour une meilleure synergie sur le terrain.
«Le SSRTE, mis en œuvre par la Fondation ICI, bien que sectoriel et exclusivement dédié au suivi et à la remédiation du travail des enfants dans la chaîne d’approvisionnement du cacao, ne doit pas être perçu comme un mécanisme parallèle et concurrentiel du SOSTECI. Mais, il doit constituer avec celui-ci, un système interconnecté de partage d’informations, capable d’alimenter la base de données nationales », a-t-elle préconisé.
Le Comité interministériel (CIM) et Fondation International Cocoa Initiative (ICI), sous la supervision du CNS, ont mis en place un cadre de travail conjoint, en vue d’harmoniser les outils de collecte de données et d’opérationnaliser le mécanisme garantissant la circulation fluide et sécurisée de l’information du SSRTE vers le SOSTECI.
Pour le directeur de cabinet-adjoint du ministère de l’Emploi t de la Protection Sociale, Koné Kipeya, cette union s’avère nécessaire pour une meilleure synergie sur le terrain.
Le directeur pays du Bureau de l’Organisation internationale du travail (OIT), Semien Honoré Boua Bi et le directeur Exécutif de la Fondation International Cocoa Initiative (ICI), Nick Weatherill, quant à eux, ont mis l’accent sur la situation des enfants astreints au travail des enfants et la nécessité d’un partenariat public-privé afin de venir à bout à ce phénomène.
htmhttps://news.abidjan.net/h/633992.htmlable
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