DROITS DE L’HOMME: LA CNDHCI ET LA COUR SUPREME POUR UN MECANISME DE SUIVI
Après avoir salué cette démarche des autorités de la
Cndhci, le président de la Cour Suprême, Réné François Aphing-Kouassi entend
jouer sa partition pour contribuer à réduire le nombre de ces
dossiers qui lui ont été présentés. « Nous avons pris l’engagement de
faire en sorte que les écueils qu’ils ont relevé dans le fonctionnement du
système disparaissent au fur et à mesure », a-t-il promis.
Droits de
l’homme: La CNDHCI et la Cour Suprême pour un mécanisme de suivi
Mettre en place un comité
conjoint entre la Commission Nationale
des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (Cndhci) et la Cour Suprême pour la mise en œuvre d’un mécanisme de suivi
des violations des Droits de l’Homme impliquant la Justice. C’est le sens de la
visite de travail que le président de la Cour Suprême, Réné François
Aphing-Kouassia effectué le jeudi 28 juillet 2016 au siège de la Cndhci.
« Je voudrais porter à votre connaissance que nous avons, à ce jour, soixante-quatre (64) dossiers impliquant la Justice (le droit à la justice) dont 31 affaires pendantes devant les tribunaux. La plupart de ces dossiers évoquent les lenteurs, les lourdeurs administratives et judiciaires, les garde-à-vue prolongées, les détentions préventives jugées arbitraires par les requérants, les retentions de dossiers, les difficultés d’exécution de décision de justice. Par ailleurs, certains dossiers non liés au droit à la justice ont nécessité ou nécessitent des décisions de justice », a expliqué Mme Namizata Sangaré, présidente de la Cndhci à son hôte du jour.
« Je voudrais porter à votre connaissance que nous avons, à ce jour, soixante-quatre (64) dossiers impliquant la Justice (le droit à la justice) dont 31 affaires pendantes devant les tribunaux. La plupart de ces dossiers évoquent les lenteurs, les lourdeurs administratives et judiciaires, les garde-à-vue prolongées, les détentions préventives jugées arbitraires par les requérants, les retentions de dossiers, les difficultés d’exécution de décision de justice. Par ailleurs, certains dossiers non liés au droit à la justice ont nécessité ou nécessitent des décisions de justice », a expliqué Mme Namizata Sangaré, présidente de la Cndhci à son hôte du jour.
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