ORPHELINAT DE GARÇONS DE BINGERVILLE: 209 ENFANTS EN QUETE D’AMOUR
Marc Florent, lui, a été retrouvé dans une poubelle au
marché gouro de la gare Utb de Yopougon. Il avait été abandonné là parce que
la femme qui lui a donné la vie n’en voulait pas. Pour elle, il n’était
qu’un «enfant serpent».
Orphelinat de
garçons de Bingerville: 209 enfants en quête d’amour
C’est un havre loin du tumulte des grandes agglomérations et des vicissitudes de la vie. Dans la banlieue abidjanaise, l’orphelinat de Bingerville offre un nouveau port d’attache aux petits garçons dont l’existence a été malencontreusement bouleversée. Mais bien plus qu’un espace, cet orphelinat se veut une famille.
C’est un havre loin du tumulte des grandes agglomérations et des vicissitudes de la vie. Dans la banlieue abidjanaise, l’orphelinat de Bingerville offre un nouveau port d’attache aux petits garçons dont l’existence a été malencontreusement bouleversée. Mais bien plus qu’un espace, cet orphelinat se veut une famille.
Ainsi, tout homme qui franchit les portes de
l’institution devient un «papa» et
toute femme, une «maman». Papa
directeur, Marcel Légré et ses collaborateurs ne sont donc pas de simples
travailleurs sociaux, mais souvent les principaux repères pour leurs 209
pensionnaires. 209 enfants avec chacun une
histoire et un chemin de vie à tracer ou à retracer.
Et pour la plupart,
l’histoire commence mal. Des faits tragiques que ces frêles silhouettes doivent avoir la force de transcender.
Patience, amour sont donc les maîtres mots pour les 110 travailleurs de
l’institution qui doivent donner à leurs protégés des raisons de croire en la
vie.
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