COTE D'IVOIRE: LA LIBERTE D'HABILLEMENT TEND VERS LE LIBERTINAGE VESTIMENTAIRE A L'UNIVERSITE DE BOUAKE
© koaci.com – Mardi 17 Juillet 2018 -Si
dans des universités privées et grandes écoles, des modes d'habillement sont
imposés aux étudiants, ce n'est pas le cas dans les Universités publiques de
Côte d'Ivoire où les apprenants ont la liberté Rechercher liberté de
s'habiller comme bon leur semble.
À l'Université Alassane Ouattara de Bouaké, l'on constate que cette liberté Rechercher liberté d'habillement tend vers un libertinage Rechercher libertinage vestimentaire.
En effet, les étudiants de l’UAO, principalement les filles ne font pas encore la différence entre l'accoutrement de maison, de sorties des vêtements qu'on enfile pour se rendre dans un lieu comme l'Université, le temple du savoir. Un lieu de savoir, d'éducation et d'instruction.
L'étudiant Silué P. F, de l'UFR Communication, Milieu et Société (CMS), se dit choqué et révolté de voir les jeunes étudiantes s'habiller comme si elles répondaient à une invitation de leurs amis dans une boîte de nuit.
« C'est pas la peine! Les filles s'habillent comme ce n'est pas dans un lieu intellectuel qu'elles viennent, c'est comme si, elles partaient dans une boîte de nuit où aller au lit la nuit et à la maison.
ça me fait mal quand je vois les habits très transparents où on voit tout ce qu'elles ont porté dehors à l'appréciation de tous, c'est pathétique », a -t-il décrié.
Madame D.A. du service d'entretien, a accusé ouvertement les enseignants et les responsables de l'UAO.
« Peut-être que, quand les filles ne s'habillent plus pour venir au campus, ça plait aux professeurs. Sinon si, pendant les cours et compositions ont dit aux étudiantes de bien s'habiller, pas de tenues où toute la poitrine est dehors, les habits avec les cuisses dehors, elles vont changer. Si on les mets dehors, elles vont changer. Mais si on ne fait rien, dans quelques années, les étudiantes vont se déshabiller pour venir à l'Université », a amèrement affirmé dame D.A.
Même si les filles au premier banc des accusés, il est aussi important de souligner qu'on voit de plus en plus de jeunes étudiants qui s'habillent en mode '' Yorobo'', avec le pantalon ou la culotte totalement descendu de la tout de ceinture.
Il est donc temps pour le président l'Université Alassane Ouattara de Bouaké Lazare Poamé, les doyens d'UFR et chefs de département, qui ont travaillé et travaillent encore pour hisser cette prestigieuse institution au sommet des Universités nationales et africaines, comme témoigne le récent concours des Olympiades de Ouagadougou, de mettre de l'ordre afin que la liberté Rechercher liberté d'habillement donnée aux étudiants ne se transforme pas en libertinage Rechercher libertinage vestimentaire.
À l'Université Alassane Ouattara de Bouaké, l'on constate que cette liberté Rechercher liberté d'habillement tend vers un libertinage Rechercher libertinage vestimentaire.
En effet, les étudiants de l’UAO, principalement les filles ne font pas encore la différence entre l'accoutrement de maison, de sorties des vêtements qu'on enfile pour se rendre dans un lieu comme l'Université, le temple du savoir. Un lieu de savoir, d'éducation et d'instruction.
L'étudiant Silué P. F, de l'UFR Communication, Milieu et Société (CMS), se dit choqué et révolté de voir les jeunes étudiantes s'habiller comme si elles répondaient à une invitation de leurs amis dans une boîte de nuit.
« C'est pas la peine! Les filles s'habillent comme ce n'est pas dans un lieu intellectuel qu'elles viennent, c'est comme si, elles partaient dans une boîte de nuit où aller au lit la nuit et à la maison.
ça me fait mal quand je vois les habits très transparents où on voit tout ce qu'elles ont porté dehors à l'appréciation de tous, c'est pathétique », a -t-il décrié.
Madame D.A. du service d'entretien, a accusé ouvertement les enseignants et les responsables de l'UAO.
« Peut-être que, quand les filles ne s'habillent plus pour venir au campus, ça plait aux professeurs. Sinon si, pendant les cours et compositions ont dit aux étudiantes de bien s'habiller, pas de tenues où toute la poitrine est dehors, les habits avec les cuisses dehors, elles vont changer. Si on les mets dehors, elles vont changer. Mais si on ne fait rien, dans quelques années, les étudiantes vont se déshabiller pour venir à l'Université », a amèrement affirmé dame D.A.
Même si les filles au premier banc des accusés, il est aussi important de souligner qu'on voit de plus en plus de jeunes étudiants qui s'habillent en mode '' Yorobo'', avec le pantalon ou la culotte totalement descendu de la tout de ceinture.
Il est donc temps pour le président l'Université Alassane Ouattara de Bouaké Lazare Poamé, les doyens d'UFR et chefs de département, qui ont travaillé et travaillent encore pour hisser cette prestigieuse institution au sommet des Universités nationales et africaines, comme témoigne le récent concours des Olympiades de Ouagadougou, de mettre de l'ordre afin que la liberté Rechercher liberté d'habillement donnée aux étudiants ne se transforme pas en libertinage Rechercher libertinage vestimentaire.
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