LUTTE CONTRE LE SIDA: LES MEMBRES DU COMITE SANTE DU PORT D’ABIDJAN FORMES
vendredi, 22
septembre 2017 00:41
Pendant trois jours, des spécialistes ont fourni aux membres les outils
pour une bonne prise en charge des personnes vivant avec le Vih.
Renforcer les capacités des membres du comité santé de lutte contre le Sida
du Port autonome d’Abidjan (Paa). C’est l’objectif de l’atelier de formation
organisé du 12 au 14 septembre au port.
Il s’agissait pour l’Ong Ohasa (Organisation humanitaire d’aide à la santé) qui a animé cette session d’informer les membres du comité sur l’évolution de la pandémie du Vih/Sida; de fournir aux participants les outils pour la prise en charge des personnes vivant avec le Vih (Pvvih) et la prévention du Vih en entreprise ; d’élaborer un plan d’action annuel de lutte contre le Sida.
Pour ce faire, l’Ong s’est appuyée sur des spécialistes (Pph, dermatologie vénérologie, gynécologie) qui ont abordé plusieurs thèmes comme « la pandémie du Vih/Sida et son impact socio-économique », « la tuberculose et Vih », « la prévention de la transmission mère enfant du Vih et prise en charge gynécologique ».
Il y a eu aussi des études de cas sur la prise en charge d’un patient Vih positif et les conseils et suivi de la femme enceinte. L’atelier s’est articulé autour de sessions en plénières ; de travaux de groupe ; avec des projections de film. Cette formation a donc permis aux membres du comité santé de lutte contre le Sida du Paa de bien connaitre la situation du VIH/sida dans le monde et en Côte d’Ivoire. Il faut savoir que la Côte d’Ivoire compte parmi les pays les plus touchés par l’épidémie du sida en Afrique de l’ouest avec un taux de prévalence estimé à 2,7%.
Pour les responsables de l’Ong, il est important que les participants connaissent les dernières avancées dans la lutte contre le Sida. Selon ceux-ci, « les efforts de l’ensemble des acteurs nationaux et internationaux engagés dans la lutte contre le sida en Côte d’Ivoire ont permis de passer d’un taux de prévalence estimé en fin 2003 à environ 7% (Rapport Onusida 2004) à un taux de 3,4% (Rapport Onusida 2010) ».
Rappelons que la maladie touche principalement la population active entre 15 et 49 ans. Le contexte épidémiologique est marqué par une féminisation de l’épidémie avec 6,4% pour les femmes contre 2,9% pour les hommes.
S. Banhoro
https://www.fratmat.info/index.php/societe/lutte-contre-le-sida-les-membres-du-comite-sante-du-port-d-abidjan-formes-2
Il s’agissait pour l’Ong Ohasa (Organisation humanitaire d’aide à la santé) qui a animé cette session d’informer les membres du comité sur l’évolution de la pandémie du Vih/Sida; de fournir aux participants les outils pour la prise en charge des personnes vivant avec le Vih (Pvvih) et la prévention du Vih en entreprise ; d’élaborer un plan d’action annuel de lutte contre le Sida.
Pour ce faire, l’Ong s’est appuyée sur des spécialistes (Pph, dermatologie vénérologie, gynécologie) qui ont abordé plusieurs thèmes comme « la pandémie du Vih/Sida et son impact socio-économique », « la tuberculose et Vih », « la prévention de la transmission mère enfant du Vih et prise en charge gynécologique ».
Il y a eu aussi des études de cas sur la prise en charge d’un patient Vih positif et les conseils et suivi de la femme enceinte. L’atelier s’est articulé autour de sessions en plénières ; de travaux de groupe ; avec des projections de film. Cette formation a donc permis aux membres du comité santé de lutte contre le Sida du Paa de bien connaitre la situation du VIH/sida dans le monde et en Côte d’Ivoire. Il faut savoir que la Côte d’Ivoire compte parmi les pays les plus touchés par l’épidémie du sida en Afrique de l’ouest avec un taux de prévalence estimé à 2,7%.
Pour les responsables de l’Ong, il est important que les participants connaissent les dernières avancées dans la lutte contre le Sida. Selon ceux-ci, « les efforts de l’ensemble des acteurs nationaux et internationaux engagés dans la lutte contre le sida en Côte d’Ivoire ont permis de passer d’un taux de prévalence estimé en fin 2003 à environ 7% (Rapport Onusida 2004) à un taux de 3,4% (Rapport Onusida 2010) ».
Rappelons que la maladie touche principalement la population active entre 15 et 49 ans. Le contexte épidémiologique est marqué par une féminisation de l’épidémie avec 6,4% pour les femmes contre 2,9% pour les hommes.
S. Banhoro
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