TECHNOLOGIE: UNE SOLUTION POUR SOUTENIR L’INDUSTRIE AGRO-ALIMENTAIRE
[03-05-2017. 15h00]
Selon le groupe singapourien, son activité phare était le trading. Mais avec
l’industrialisation, c’est-à-dire la transformation de leurs produits, les
besoins sont montés à une "vitesse astronomique".
Technologie: Une solution pour soutenir
l’industrie agro-alimentaire
Le pilier « Nourrir l’Afrique » qui fait partie des cinq priorités du groupe de la Banque africaine de développement (Bad), ne se fera pas sans la technologie. C’est en quelque sorte la conclusion qu’on peut tirer de l’expérience du groupe singapourien Olam (spécialisé dans l'agro-alimentaire), qui a réussi, grâce à une solution technologique (Sap), à renforcer sa présence dans 70 pays comptant 23 000 clients. Ce partage d’expérience s’est déroulé le mercredi 3 mai, à Abidjan-Cocody.
Selon le groupe singapourien, son activité phare était le trading. Mais avec l’industrialisation, c’est-à-dire la transformation de leurs produits, les besoins sont montés à une "vitesse astronomique". Et pour satisfaire toutes les demandes, il s’est rendu compte que le progiciel de gestion intégrée Sap (Systems applications products) était le mieux adapté à leur besoin. « Avec cette solution, nous avons aujourd’hui le trading, la gestion de nos plantations et nos productions », soutient le représentant de cette entreprise. Avant d’ajouter que cette innovation est utilisée par leur groupe dans 35 pays.
Pour le responsable Afrique de l’ouest de cette entreprise technologique, Nzati Roméo, pour apporter des réponses pertinentes au consommateur final en termes de qualité, de coût et de délais, il faut pouvoir améliorer les capacités de planification. Ce, pour réguler la distribution des biens et produits sur les différents marchés à des coûts très abordables pour les clients finaux. Or, fait-il remarquer, « ce déficit de transparence, de simplification et cette difficulté d’avoir des prix très souvent à la portée du citoyen moyen, font qu’il était de notre point de vue important d’exposer notre savoir-faire, d’exposer ce que Olam fait aujourd’hui grâce à nous et aussi d’éveiller la conscience des populations vers des solutions technologiques plus efficaces ».
A l’instar du groupe singapourien, d’autres structures ont présenté leur savoir-faire, les approches méthodologiques, mais également leur référence et le retour d’expérience de certains de leurs clients. Ce qui augure de bonnes perspectives pour le développement de l’industrie agro-alimentaire en Afrique. Selon Jan Hendrik Stricker de la représentation France de ce progiciel, accéder à une technologie permettant d’intégrer les processus agro-alimentaires, de l’origine des besoins à la commercialisation, c’est améliorer la vie des entreprises, partant des populations.
Le pilier « Nourrir l’Afrique » qui fait partie des cinq priorités du groupe de la Banque africaine de développement (Bad), ne se fera pas sans la technologie. C’est en quelque sorte la conclusion qu’on peut tirer de l’expérience du groupe singapourien Olam (spécialisé dans l'agro-alimentaire), qui a réussi, grâce à une solution technologique (Sap), à renforcer sa présence dans 70 pays comptant 23 000 clients. Ce partage d’expérience s’est déroulé le mercredi 3 mai, à Abidjan-Cocody.
Selon le groupe singapourien, son activité phare était le trading. Mais avec l’industrialisation, c’est-à-dire la transformation de leurs produits, les besoins sont montés à une "vitesse astronomique". Et pour satisfaire toutes les demandes, il s’est rendu compte que le progiciel de gestion intégrée Sap (Systems applications products) était le mieux adapté à leur besoin. « Avec cette solution, nous avons aujourd’hui le trading, la gestion de nos plantations et nos productions », soutient le représentant de cette entreprise. Avant d’ajouter que cette innovation est utilisée par leur groupe dans 35 pays.
Pour le responsable Afrique de l’ouest de cette entreprise technologique, Nzati Roméo, pour apporter des réponses pertinentes au consommateur final en termes de qualité, de coût et de délais, il faut pouvoir améliorer les capacités de planification. Ce, pour réguler la distribution des biens et produits sur les différents marchés à des coûts très abordables pour les clients finaux. Or, fait-il remarquer, « ce déficit de transparence, de simplification et cette difficulté d’avoir des prix très souvent à la portée du citoyen moyen, font qu’il était de notre point de vue important d’exposer notre savoir-faire, d’exposer ce que Olam fait aujourd’hui grâce à nous et aussi d’éveiller la conscience des populations vers des solutions technologiques plus efficaces ».
A l’instar du groupe singapourien, d’autres structures ont présenté leur savoir-faire, les approches méthodologiques, mais également leur référence et le retour d’expérience de certains de leurs clients. Ce qui augure de bonnes perspectives pour le développement de l’industrie agro-alimentaire en Afrique. Selon Jan Hendrik Stricker de la représentation France de ce progiciel, accéder à une technologie permettant d’intégrer les processus agro-alimentaires, de l’origine des besoins à la commercialisation, c’est améliorer la vie des entreprises, partant des populations.
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