ADIOPODOUME: UN DEFICIT DE 300 TABLES-BANCS DANS LES ECOLES QUARTIER KM 17
Selon des enseignants, du
fait de l’insuffisance de tables-bancs, les enfants s’asseyent à 4 ou 5 ce qui
favorise la tricherie.
Adiopodoumé: Un déficit de 300 tables-bancs dans les écoles Quartier Km 17
Au cours d’une réunion des parents d’élèves, Gueu Blessi du Coges qui dirige la gestion des travaux de la nouvelle classe, a fait le bilan de cette année aux parents d’élèves. Il a révélé qu’il existe dans les trois établissements de 18 classes Quartier Km 17 un déficit de 300 tables-bancs.
Pour les élèves qui fréquentaient les écoles boutiques, avec l’accord des responsables de la circonscription primaire, il a été décidé de mettre deux enseignants de différentes écoles dans la même classe en attendant la finition du nouveau bâtiment.
Selon des enseignants, du fait de l’insuffisance de tables-bancs, les enfants s’asseyent à 4 ou 5 ce qui favorise la tricherie.
A cette difficulté s’ajoute le problème de latrines. Ces trois écoles ne disposent plus de latrines. Les élèves et le personnel de l’établissement sont obligés de soulager dans les broussailles en traversant la route de Dabou.
Gueu Blessi, président du Comité de gestion des établissements scolaires (Coges), explique cette situation par le fait que certains parents d’élèves refusent de contribuer à la construction de nouvelles latrines. « Lorsqu’on décide de lever des fonds pour la construction de nouvelles latrines, certains parents d’élèves n’y participent pas », regrette-t-il.
C’est pourquoi, les responsables de ces écoles lancent un appel aux autorités administratives, aux élus, aux cadres et aux Ong de leur venir en aide pour sauver l’école Quartier Km 17.
Au cours d’une réunion des parents d’élèves, Gueu Blessi du Coges qui dirige la gestion des travaux de la nouvelle classe, a fait le bilan de cette année aux parents d’élèves. Il a révélé qu’il existe dans les trois établissements de 18 classes Quartier Km 17 un déficit de 300 tables-bancs.
Pour les élèves qui fréquentaient les écoles boutiques, avec l’accord des responsables de la circonscription primaire, il a été décidé de mettre deux enseignants de différentes écoles dans la même classe en attendant la finition du nouveau bâtiment.
Selon des enseignants, du fait de l’insuffisance de tables-bancs, les enfants s’asseyent à 4 ou 5 ce qui favorise la tricherie.
A cette difficulté s’ajoute le problème de latrines. Ces trois écoles ne disposent plus de latrines. Les élèves et le personnel de l’établissement sont obligés de soulager dans les broussailles en traversant la route de Dabou.
Gueu Blessi, président du Comité de gestion des établissements scolaires (Coges), explique cette situation par le fait que certains parents d’élèves refusent de contribuer à la construction de nouvelles latrines. « Lorsqu’on décide de lever des fonds pour la construction de nouvelles latrines, certains parents d’élèves n’y participent pas », regrette-t-il.
C’est pourquoi, les responsables de ces écoles lancent un appel aux autorités administratives, aux élus, aux cadres et aux Ong de leur venir en aide pour sauver l’école Quartier Km 17.
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